WeGA, Briefe, Digitale Edition Herzog Ludwig von Württemberg an König Friedrich I. von Württemberg <lb/>Stuttgart, Samstag, 3. Februar 1810 Herzog Ludwig von Württemberg Veit, Joachim Stadler, Peter Übertragung Veit, Joachim Jakob, Charlene

Version 4.9.1 vom 5. Februar 2024

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Carl-Maria-von-Weber-Gesamtausgabe
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Machine-Readable Transcriptions of Texts from the Carl Maria von Weber Complete Edition (WeGA)

D; Stuttgart; Hauptstaatsarchiv Stuttgart; Prozeßakten Weber G 246, Bü 4, Dok. 3

Carl-Maria-von-Weber-Gesamtausgabe, Sämtliche Briefe

Übertragung folgt den ER der WeGA

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Französisch korrekturgelesen; es bleiben einige Unsicherheiten Dokument zu Briefen umgetopft Dokument angelegt, erste Textübertragung und -auszeichnung
Mon très cher Frere!

Je prends la Liberté de Vous instruire que j' ai été obligé de faire arréter par la police un Laquay de chambre nomé Hubert qui m'est devenû plus que suspect par sa conduitte; depuis quelques temps on à volé à mon fils Adam une montre à repetition avec chaine et cachets, j'ai appris depuis qu'il à fais l'emplette de plusieurs meubles que son appartement qu'il occupe en ville et qu'il paye à ses propres frais doit en être remplis, mais ce qui met le comble à tous les crimes dont je le crois coupable est le Bruit qui s'est repauché qu'il doit d'être servi de mon Nom, pour engager des gens à mon Service soumis à la conscription militaire en leurs faisant l'infame promesse que mayennant une certaine retribution ces gens séroient exemptés de faire le Service militaire. Vous jugez mon très cher Frere, à quel point je dois être indigné contre ce Scelerat et quoique les actions de ce miserable ne peuvent avoir aucune influence directe sur ma Reputation établie, je dois insister à ce qu'il soit puni avec une Séverité proportionnée à Son crime.

Je suis très faché, mon très cher Frere d'avoir eté forcé de Vous importuner de cette affaire qui m'afflige infiniment. Daignez agréer l'assurance réiterée de la tendre amitié et de l'attachement invariable avec les quels je Suis

de mon très cher Frere le très – humble et plus Sou- mis Serviteur et tendre Frere Louis Stuttgardt ce 3 Fevrier 1810.